Qu’il s’agisse de pollution atmosphérique ou de rejets locaux, l’air que nous respirons devient de plus en plus malsain.
Selon une étude de juin 2020 publiée dans la revue Climate and Atmospheric Science, la moitié de la population de la planète doit vivre avec un air de plus en plus pollué. Sur l’ensemble de la planète, le nombre de personnes exposées à plus de 2,5 PM avait augmenté de 55,3 % en 2016 par rapport à 2010.
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) affirme que les particules fines contenues dans les espaces extérieurs tuent chaque année 4,2 millions de personnes dans le monde et nuisent à la santé d’une population bien plus considérable. Elles pénètrent, par les voies aériennes, en profondeur dans les poumons, et déclenchent des inflammations qui causent ou aggravent de nombreuses pathologies respiratoires. Les plus petites particules peuvent entrer dans le flux sanguin et déclencher une réaction en chaîne susceptible de conduire à une crise cardiaque, au cancer ou à un AVC.
L’indice de qualité de l’air en temps réel (IQA) nous avertit lorsque les niveaux de particules sont dangereusement élevés. Obtenues à partir de données recueillies par 10 000 stations de surveillance partout dans le monde, toutes les mesures sont basées sur des relevés horaires. Le calcul de l’IQA prend en compte les particules en suspension (PM2.5 et PM10), l’ozone (O3), le dioxyde d’azote (NO2), l’anhydride sulfureux (SO2) et les émissions de monoxyde de carbone (CO). Un IQA supérieur à 100 est considéré comme dangereux. De 101 à 150, il indique un « risque pour la santé de certaines catégories de personnes fragiles », de 151 à 200, l’existence d’un « risque », de 201 à 300, d’un « risque grave », et au-delà de 300, d’un « danger ». |
L’indice de qualité de l’air en temps réel (IQA) nous avertit lorsque les niveaux de particules sont dangereusement élevés. Obtenues à partir de données recueillies par 10 000 stations de surveillance partout dans le monde, toutes les mesures sont basées sur des relevés horaires. Le calcul de l’IQA prend en compte les particules en suspension (PM2.5 et PM10), l’ozone (O3), le dioxyde d’azote (NO2), l’anhydride sulfureux (SO2) et les émissions de monoxyde de carbone (CO). Un IQA supérieur à 100 est considéré comme dangereux. De 101 à 150, il indique un « risque pour la santé de certaines catégories de personnes fragiles », de 151 à 200, l’existence d’un « risque », de 201 à 300, d’un « risque grave », et au-delà de 300, d’un « danger ».
Mais rester à l’intérieur ne protège personne d’un air de mauvaise qualité. La pollution extérieure devient celle de l’air intérieur, en s’insinuant dans nos bureaux et nos maisons par la ventilation naturelle et mécanique.
À l’intérieur, la pollution atmosphérique forme un cocktail avec d’autres particules en suspension, comme le virus de la COVID-19, les allergènes, la poussière, les moisissures, les pellicules animales, la fumée et les micro plastiques présents dans l’air.
Selon une étude du Plan d’action mondial, la pollution de l’air à l’intérieur est 3,5 fois plus grave que la pollution extérieure, et son pic peut être 560 fois plus élevé.
La purification de l’air peut offrir une solution concrète, mais tous les purificateurs d’air ne sont pas égaux. Le marché de la purification de l’air n’est pas réglementé et de nombreux fabricants font des déclarations non fondées. Les acheteurs peu méfiants acquièrent des purificateurs d’air qui ne sont pas à la hauteur et, pire, qui peuvent faire plus de mal que de bien.
L’indice de qualité de l’air en temps réel (IQA) signale actuellement un niveau élevé de particules aériennes dans de nombreuses régions.
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