La pandémie a eu un impact significatif sur les capacités de traitement des patients dans les cabinets dentaires. Bien que les confinements soient derrière nous, les temps d’arrêt pour la désinfection, c’est à dire le temps pendant lequel une salle d’opération doit rester vide suite à une procédure génératrice d’aérosols (AGP) pour permettre l’évacuation et/ou le dépôt de gouttelettes ou d’aérosols en suspension dans l’air, continue d’allonger les listes d’attente.
L’annexe dentaire du 17 Janvier 2022 intitulée « COVID-19: prévention et contrôle des infections » aux directives générales sur « La prévention et le contrôle des infections respiratoires saisonnières dans les établissements de santé et de soins (dont le SRAS-CoV-2) pour l’hiver 2021 à 2022 » publiées par le gouvernement britannique fournit une mise à jour sur les temps d’arrêt post-AGP pour les cabinets dentaires.
Une mauvaise ventilation prolonge le temps d’arrêt pour la désinfection. Pour un taux de renouvellement de l’air de 10 ACH (ACH: Air Change per Hour/taux de renouvellement de l’air par heure:/renouvellement de l’air par heure) ou plus, un temps d’arrêt référence de 15 minutes est recommandé post-AGP. Cependant, ce temps d’arrêt passe à 20 minutes pour 6 à 9 ACH et à 30 minutes pour 1 à 5 ACH ou lorsque le taux de renouvellement de l’air est inconnu.
Dans une salle de chirurgie dentaire standard de 30 m3 (4x3m avec une hauteur de plafond normale), un purificateur d’air capable de purifier 560 m3 par heure renouvellerait l’air 18 fois par heure (18 ACH). Cela signifie qu’un dentiste peut fonctionner avec le temps d’arrêt minimum de 15 minutes pour la désinfection, augmentant ainsi de manière considérable la quantité de patients traités.
En supposant qu’une seule salle d’opération soit utilisée 8 heures par jour, avec 30 minutes allouées à chaque rendez-vous, un temps d’arrêt pour la désinfection de 30 minutes permettrait 8 rendez-vous par jour. Si l’on parvient à passer ce temps d’arrêt à 15 minutes, le nombre de patients traités par jour passe à 11. Sur une semaine de travail, cela équivaut à 15 patients de plus, soit plus de 750 patient supplémentaires traités sur une année. Le coût et les avantages pour les patients vont largement dans le sens de la purification de l’air, avec un retour sur investissement rapide pour un purificateur d’air de qualité hospitalière qui peut réduire de moitié le temps d’arrêt requis pour la désinfection.
Une fois les besoins et le retour sur investissement établis, reste à savoir quel type de purificateur d’air choisir. La Faculté de médecine dentaire générale (FDGP) du Royaume-Uni et le Collège de médecine dentaire générale (CGDent) ont publié un guide mis à jour en octobre 2020: Les enjeux du COVID-19 pour une pratique dentaire générale en toute sécurité. Ce guide recommande l’utilisation de purificateurs d’air dotés d’une filtration HEPA ou d’une irradiation UV pour améliorer la qualité de l’air dans les cabinets par l’élimination ou la dilution des aérosols contaminés, réduisant ainsi le risque de contamination.
De plus, le guide recommande que l’appareil soit placé à proximité de la source de production d’aérosols (donc du fauteuil du patient). Le débit d’air, l’efficacité de la purification de l’air et la taille de la pièce doivent tous être pris en compte, ainsi que l’entretien et la sécurité. La sécurité est également une préoccupation majeure pour le comité SAGE au Royaume-Uni qui met en garde contre le recours à des technologies non éprouvées qui reposent sur des réactions chimiques et susceptibles de dégager des sous-produits toxicologiques nocifs.
La technologie brevetée de Rensair combine un filtre HEPA H13 de qualité hospitalière avec une lampe UVC sans ozone pour capturer et inactiver les agents pathogènes. ESI Group a récemment achevé la modélisation in situ du purificateur d’air Rensair dans une salle de traitement dentaire de l’hôpital de Birmingham. Les résultats obtenus grâce à une analyse mécanique des fluides numérique avancée ont confirmé une circulation de l’air et une élimination très efficaces des aérosols générés par les procédures AGP. Le flux d’air directionnel est essentiel à la sécurité du dentiste. Des tests de dépôt et de champs de propagation effectués sur le terrain, proche du patient, ont démontré que le purificateur d’air Rensair aspire les aérosols vers le bas, protégeant ainsi les dentistes des particules infectieuses.
Le purificateur d’air Rensair diffuse rapidement un air purifié à 360 degrés dans un flux uniforme sortant parallèle au sol. Cela améliore la pénétration de la pièce et favorise la circulation toroïdale du flux d’air dans toute la pièce, de sorte que l’air pur ricoche sur les murs, puis le plafond, puis dans toute la salle.
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