La demande en purification de l’air ne cesse de croître depuis quelques années. Cela est dû à l’augmentation des niveaux de pollution de l’air, à la prévalence des bactéries et des virus en suspension dans l’air et à un public de plus en plus soucieux de sa santé. L’intérêt du public a été à la fois renforcé par l’avancement de la recherche scientifique sur la qualité de l’air intérieur (QAI), ainsi que par une sensibilité accrue pour les bienfaits d’un air intérieur sain sur la santé à long terme. La pandémie de Covid-19 a mis davantage en évidence la nécessité d’une meilleure ventilation pour limiter les risques pour la santé auxquels nos sociétés modernes sont confrontées, étant donné que nous passons 90% de notre temps à l’intérieur.
Voici les 5 principales raisons d’installer un purificateur d’air:
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la pollution de l’air tue 7 millions de personnes dans le monde chaque année. 9 personnes sur 10 respirent un air dont les niveaux de polluants sont au-delà des limites recommandées par l’OMS.
Les polluants atmosphériques sont souvent sous la forme de particules fines (particules PM2,5) – 100 fois plus fines qu’un cheveu humain – qui peuvent passer dans la circulation sanguine et causer des dommages. Beaucoup des ces particules en suspension dans l’air proviennent de l’extérieur et sont transférées dans l’environnement intérieur, cela inclut les émissions des véhicules, la fumée, les moisissures, le pollen et la poussière. Avec la tendance actuelle d’accepter les chiens dans les bureaux, les squames d’animaux constituent un autre danger.
L’article de National Geographic intitulé « Pollution’s Toll on the Body » (Le prix payé par notre corps à cause de la polution) établit la liste des effets néfastes de l’air pollué: modifications de la structure du cerveau, un risque plus élevé de maladie d’Alzheimer, de troubles du neurodéveloppement, de maladies pulmonaires obstructives chroniques, des maladies cardiovasculaires, de maladies rénales, de maladies respiratoires, d’allergies, d’asthme et de cancers. En intérieur, les concentrations de certains polluants sont souvent 2 à 5 fois plus élevées que les concentrations que l’on trouve en général à l’extérieur et peuvent contenir jusqu’à 900 produits chimiques, particules et matières biologiques potentiellement dangereux. Les purificateurs d’air peuvent capturer plusieurs catégories de polluants, préservant ainsi notre santé.
L’OMS affirme à présent que la Covid-19 se propage principalement dans l’air, plutôt que par le biais de surfaces contaminées. Mais la Covid n’est que la partie émergée de l’iceberg. Les vagues épidémiques impliquant des maladies aéroportées comme le SRAS, le MERS, la tuberculose et les norovirus sont de plus en plus fréquentes.
Au lendemain du confinement et alors que les gens retournent au travail en présentiel, la menace de transmission aérienne s’intensifie. Il est prouvé qu’après une longue période de distanciation sociale et de port du masque, le système immunitaire des individus est compromis, augmentant la probabilité de contracter des virus respiratoires comme la grippe et le rhume.
The Lancet met en garde contre une augmentation des infections bactériennes multirésistantes, qui devraient causer 10 millions de décès par an d’ici 2050 et coûter à l’économie mondiale 100 000 milliards de dollars en perte de productivité. L’OMS, les CDC américains, le comité SAGE au Royaume-Uni et toutes les principales agences de santé conviennent que la transmission des maladies par voie aérienne est un problème de ventilation. Les personnes infectées exhalent des aérosols contenant des agents pathogènes, qui se transmettent facilement dans les bureaux partagés, en particulier avec un taux d’occupation élevé et lorsqu’ils sont mal ventilés. Les purificateurs d’air peuvent endiguer cette propagation.
Pour que les entreprises prospèrent, les interactions physiques sont nécessaires. Les contacts interpersonnels et les sessions de brainstorming en présentiel sont sources de nouvelles idées et entretiennent la culture d’entreprise. C’est pourquoi la plupart des entreprises veulent que leur personnel revienne au bureau, au moins à temps partiel.
Mais certains employés hésitent à revenir. L’anxiété liée au Covid persiste et les gens se sont habitués au télétravail. Les entreprises doivent déployer des mesures pratiques de lutte contre la propagation des infections si elles souhaitent voir leurs employés de retour en présentiel. Les purificateurs d’air remplissent cette fonction.
Le retour au bureau sont synonyme de hausse de la productivité, mais seulement si les employés respirent un air pur. Aux États-Unis, la facture des maladies liées à la mauvaise qualité de l’air s’élève à 150 milliards de dollars par an. Sur ce montant, 93 milliards de dollars représentent une perte de productivité due aux maux de tête, à la fatigue et aux irritations associées au syndrome du bâtiment malsain. Les arrêts maladie et l’absentéisme sont les ennemis de la productivité.
La mauvaise qualité de l’air intérieur n’affecte pas seulement notre santé. Une étude récente de l’Université d’Harvard montre qu’elle réduit les capacités cérébrales, avec pour résultat un personnel moins productif. Cette étude met en évidence une relation directe entre la quantité de particules fines dans l’air et la performance des personnes lors des tests intellectuels. Plus l’air est pollué, moins les résultats sont bons. A l’inverse, un air purifié améliore les capacités intellectuelles, qui stimulent elles-même la rétention, la production, l’innovation et la prise de décision stratégique.
En réaction à la pandémie de Covid, l’OMS a revu à la hausse ses recommandations en terme de ventilation à 10 litres par personne et par seconde afin d’éliminer les concentrations de particules en suspension dans l’air.
Ce chiffre est irréaliste pour de nombreux bureaux, en particulier dans les salles de conférence ayant un taux d’occupation élevé et les réunions qui s’ensuivent. Même les bâtiments modernes peuvent être sous-ventilés de manière structurelle.
Dans ce contexte, le CDC recommande l’utilisation de purificateurs d’air “permettant un renouvellement d’air efficace sans avoir besoin de conditionner l’air extérieur.“ Le CDC ainsi que d’autres autorités sanitaires de premier plan conseillent spécifiquement l’utilisation d’unités de filtration HEPA portatives combinant un filtre HEPA et un système de ventilation sur secteur comme option numéro un pour une purification de l’air auxiliaire. L’irradiation germicide ultraviolette est également citée comme outil supplémentaire pour inactiver le SARS-CoV-2. L’utilisation des purificateurs d’air HEPA (acronyme de l’anglais high-efficiency particulate air signifiant filtre à particules aériennes à haute efficacité) est recommandée car il est prouvé (même par la NASA) qu’ils sont très efficaces pour capturer les particules aéroportées ultrafines de taille inférieure à 0,3 micron, avec une efficacité de 100% à 0,01 micron. En plus de capturer les particules microscopiques, un filtre HEPA est également efficace à 100% pour les particules de 10 microns et plus, la taille typique des particules virales transmises lorsqu’elles sont enveloppées dans un liquide respiratoire.
Pour ce qui est du portefeuille, le coût des purificateurs d’air portatifs ne représente en général qu’une fraction du coût d’un système de chauffage, de ventilation et de climatisation (CVC) intégré. Leur mise en place ne cause aucune perturbation et les bureaux peuvent en profiter immédiatement – montés sur roulettes, il suffit de les placer à l’endroit voulu et de les allumer.
La facture énergétique est un autre avantage. Augmenter la ventilation, par des moyens naturels ou mécaniques, revient à faire entrer davantage d’air extérieur dans un bâtiment, qui doit garder une température adéquate pour le confort des usagers. La majeure partie de l’année, cela revient à chauffer ou climatiser, ce qui représente potentiellement des factures énergétiques plus élevées et une empreinte carbone plus importante. Les systèmes CVC représentent les deux tiers de la consommation énergétique des bâtiments commerciaux et publics dans les pays développés. Chauffer et/ou climatiser l’air ventilé pour obtenir une température appropriée peut potentiellement représenter la moitié de la facture énergétique d’un bâtiment. Ainsi, au lieu d’insuffler de l’air frais à l’intérieur, une partie de celui-ci peut être purifié pour atteindre le taux de renouvellement d’air souhaité, consommant ainsi moins d’énergie et réduisant les émissions de carbone. La consommation des purificateurs d’air correspond généralement à celle d’un réfrigérateur-congélateur et leur fonctionnement ne coûte que quelques centimes par jour. Les purificateurs d’air peuvent ainsi être rapidement amortis grâce aux économies réalisées au quotidien.
Voir aussi: Les 5 meilleurs conseils pour l’achat d’un purificateur d’air pour votre entreprise
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